e-1 : massification
La transformation digitale engendre l'effondrement des coûts de distribution. La formation devient abondante et massive. Avec pour conséquence la démocratisation potentielle de l’accès au savoir et à la formation (on est à la fois dans le « massif » et « l’open »). Pour les entreprises, cela se traduit par exemple par l’opportunité de diffuser un module de formation sur un nouvel outil informatique dans un temps court sur l’ensemble du territoire.
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e-2 : systématisation et mesurabilité
Tracking, mesure d’acquisition des connaissances, évaluation de la satisfaction,
La gestion des données permet également la gestion des compétences et l'analyse des besoins. Elle conduit donc à l'optimisation des dépenses de formation.
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e-3 : la pédagogie repensée
Les supports de formation ont changé avec le digital : PC, CD-ROM, web, mobiles et tablettes, tableaux interactifs numériques... Les infrastructures aussi ont évolué: plus légères, haut débit, SAAS...
Le digital ouvre de nouveaux horizons en matière de pédagogie : ingénieries pédagogiques qui s’adaptent au fonctionnement de notre cerveau, individualisation avec des algorithmes qui s’adaptent aux apprenants (ancrage mémoriel), gaming (mécanique addictive et récompense psychique), recours au multisensoriel, etc...
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e-4 : la révolution « sociale »
La notion d’interactivité devient essentielle à l’adhésion de l’apprenant (ex : 360Learning).
Le « social learning » deésigne la communauté à la fois apprenante et enseignante.
La communauté “note” ou “like” les contenus qu’elle préfère, les meilleurs émergent (ex. Kahn académie, c’est la popularité des premiers cours mis en ligne qui a poussé Kahn a fonder sa fondation et massifier sa démarche)
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